Get all 13 Akitsa releases available on Bandcamp and save 35%.
Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality downloads of Devenir le diable, Haine et vengeance en concert (Québec 2019), Totale servitude, Credo, Goétie, Grands tyrans, Arraché à la mort, forcé à vivre et mourir à nouveau, Auprès de la mort, triomphant!, and 5 more.
1. |
Crématorium
02:41
|
|
||
2. |
Les sentinelles
05:01
|
|
||
Hordes bâtardes à l’affût du moindre écart
Le politiquement correct a ses mercenaires
Des idées mal digérées formant un rempart
À tout ce qui a de l’aplomb et du nerf
De ma bouche sortiront les mots proscrits
Sans oeillères j’accueillerai les auteurs interdits
Sans dédain je m’imprégnerai de leur libre esprit
Dans tous les recoins, partout ces mêmes bêtises imposées
Le bétail se fait idéologue et se croyant sentinelle
S’évertue à faire régner une myopie généralisée
Au royaume de l’étroitesse, de la sottise éternelle
Je chanterai la fierté, l’honneur, le sol et le sang
Sans honte, sans remords aucun, je ne serai repentant
De m’être exilé du territoire des bien-pensants
|
||||
3. |
Morsure
03:27
|
|
||
Fini le temps des guerriers
Oublie tout ton cher passé
Toutes nos valeurs sont saccagées
Pris au piège par l’oisiveté
Pion au sein d’un échiquier
Ta vie, ton chemin sont déjà tracés
Sois le plus fort
Affronte la mort
Sors tes dents et mords !
Sors tes dents et mords !
Pousse ce chant, crie ta rage
Sois le grain de sable dans l’engrenage
Rien ne résistera à ton ravage
Qu’il y ait du sang, qu’il y ait carnage
Ne fléchis pas, montre ton courage
Va à la guerre plutôt qu’à l’esclavage
Sois le plus fort
Affronte la mort
Sors tes dents et mords !
Sors tes dents et mords !
|
||||
4. |
Loyauté
05:34
|
|
||
Si, sous le siège de l’ennemi,
Jamais, même mourant, tu n’as fléchi
Si en te retournant, regardant ton pays,
Ton cœur ne s’est rempli de mépris
Et que dans la nuit, accompagné des ombres
Sans pleurer tu visitas les décombres
Enfin !
Entonne l’hymne de la victoire
Retrouve les tiens, à leur santé va boire
Car ton courage et ta loyauté les honorent
Peu importe les mirages de la gloire et les reflets d’or
Si par malheur ou par couillardise
Tu oublies, t’adonnes à la traîtrise
Si tu crains les tempêtes, les rivières de sang
Tu vends ta terre, ton âme pour un peu d’argent
La défaite sera amère et les remords cruels
Bien pire que la promesse d’une damnation éternelle
Prends garde !
La peur amène le déshonneur
Et lorsque le pieu transpercera ton cœur
Tu n’auras d’autre choix que de prier
Car, devant la mort, tu imploreras pitié
Mais si, fier, les yeux fixant les immensités étoilées
Même éviscéré, souffrant, jamais tu ne t’es prostré
Alors nuls dieux tu auras besoin d’implorer
Tu seras devant la mort plein d’allégresse et de fierté
Car parmi les ombres et les douleurs indicibles
Tu marches la tête haute, tu es demeuré inflexible
Alors entonne l’hymne de la victoire
Retrouve les tiens, à leur santé va boire
Car ton courage et ta loyauté les honorent
Peu importe les mirages de la gloire et les reflets d’or
|
||||
5. |
Cercueil National
04:46
|
|
||
Ton futur n’est plus que noir
Ton peuple s’éteint lentement à chaque jour qui passe
Pourtant il a déjà rêvé de gloire
Mais depuis trop longtemps il est dans l’impasse
Direction: Le cercueil national
Pour ton peuple, c’est la peine capitale
Tes rêves de liberté
Seront à jamais enterrés
Condamné sans avoir commis de crimes
Ta culture se perd au fond des abîmes
Tu peux bien crier: Je me souviens !
Car bientôt tu ne seras peut-être plus rien
|
||||
6. |
|
|||
7. |
Le dernier putsch
06:56
|
|
||
Trombes de bombes
Dans les mégapoles:
Nos pires chiens sortent de l’ombre
Dynamiter la capitale
Afin que croulent
Vos tours de verre et de fer,
Afin qu’elles roulent
Dans un vacarme d’Enfer
Sur leurs bâtisseurs mêmes.
Et vos troupeaux, et vos icônes,
Et vos marchands ceints de couronnes,
Qu’avec ils coulent
Comme de la crème
Donner à bouffer aux égouts !
Qu’ils nous offrent le gai ragoût
De leur molle putréfaction…
Ici AKITSA la faction
Contre le monde moderne:
A coup de batte on guérira
Le technocrate.
Au golden boy on percera
La rate.
Au sommet nous rétablirons
L’Aristocrate.
La République nous lui fendrons
La chatte.
J’ai le sang hooligan
Et l’esprit élitiste
Avec un canif ou une canne
Je te rayerai de la liste.
C’est le foutoir la métropole
On vient mettre de l’ordre un peu
Ca fera se hisser Paupaul
De voir ton gros tronc sur un pieu.
Voici ma meute, voilà tes gars,
Oui c’est l’émeute, voilà dégage
On fait trop de dégâts…
A coup de batte on soignera
Le ploutocrate.
Aux spéculateurs on trouera
La rate.
Au sommet nous rétablirons
L’Aristocrate.
Démocratie nous te fendrons
La chatte.
Paroles écirtent par La Sale Famine de Valfunde.
|
||||
8. |
Antithèse
02:09
|
|
||
L’escouade des bas fonds du terroir
Qui a nourrit tes rêves de gloire
Aujourd’hui vient te cracher au visage
Tout son mépris et sa rage
Inoffensifs, incrédules et ignorants
Fils de bâtards, hideux enfants
Ensemble à la messe des cons
Pour s’envoler vers leurs illusions
Vous vivez dans le déguisement
Vous croyez à des fictions
Nous sommes l’antithèse à votre utopie
Vrais et imbus de mépris !
|
||||
9. |
Vers la mort
05:36
|
|
||
Avance ! Rejoins le sommet de la montagne
Regarde de là-haut ces milliers de lumières
Qui entravent la nuit, qui l’empêchent d’émerger
Et de pénétrer nos cœurs
Avance ! Redescends auprès du troupeau
Loup ou brebis, quelle différence?
Parmi les flots de l’indifférence
Qui peut faire résistance?
Avance ! Affronte l’inertie des cités
Surpeuplées,
Suralimentées
Goinfrées jusqu’à cécité
Avance! Délaisse enfin les villes assiégées
Les forêts décharnées,
Les campagnes médicamentées
Le sol est malade et la route est minée
Marche en avant ! Rejeton de la modernité
Parmi les fantômes, les cadavres, les têtes coupées
Fais ta place auprès de la mort
Donne sans crainte ton obole au passeur
Laisse couler !
Les flots de l’enfer t’emporteront
Sur terre comme au ciel
Mort ou vivant, il n’y a rien à espérer
|
||||
10. |
La voix brutale
05:33
|
|
||
Vends ton corps, vends ton âme, espère dans le mal;
La chair est tout, l'ivresse est tout, le ciel est vide,
N'estime que toi-même et sois de l'or avide,
Exalte la hideur, vis comme l'animal !
Le bien se perd au fond d'un chaos sépulcral;
Ravale la beauté virginale; et, stupide,
Écrase du talon toute gorge intrépide
Qui lance un cri d'alarme au carrefour fatal !
Et crache ton mépris, comme un noir jet de fange,
Sur tout ce qui tient moins de l'homme que de l'ange;
Sois puissant pour montrer la force de ton bras !
Engraisse bien ton ventre, et jouis jusqu'à l'heure
Où dans l'éternité, blasé, tu descendras
Goûter la grande, paix du néant qui demeure !
Paroles écritent par Albert Lozeau (1878 - 1924).
|
Streaming and Download help
Akitsa recommends:
If you like Akitsa, you may also like: